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Être maman, une dualité constante
Un peu à la façon de Kat dans « 10 things I hate about you », je vous fais mon poème de maman.
- Je hais quand vous faites des bêtises, mais j’adore votre petit sourire narquois craquant d’intelligence.
- Je déteste dire sans cesse les mêmes choses, mais je suis si fière quand vous les faites par vous-mêmes.
- Je n’aime pas devoir me lever la nuit et couper mon sommeil, mais je suis fière que mon réconfort et amour fassent la différence dans votre quiétude.
- Je fatigue quand vous avez besoin « non-stop » de ma présence et que je ne peux respirer, mais j’adoooore quand vous voulez me coller.
- Je ca-po-te sur la puanteur de vos cacas, mais je ne pourrais me passer de votre odeur de petit bébé au réveil.
- Je n’aime pas vous entendre crier pour des niaiseries, mais j’aime votre fougue quand vous chantez et dansez (et pourquoi pas aussi votre force de caractère).
- Je hais quand vous pleurez pour rien (ou presque), mais j’apprécie votre sensibilité et la compréhension si humaine de nos moments plus difficiles.
- Je suis fatiguée de toutes ces activités, ces horaires et ces déplacements, mais je suis tellement fière de vos accomplissements.
- Je suis essoufflée par moments d’être votre maman, mais ô combien fière en vous regardant.
- Je suis triste quand par frustration vous dites « T’aime pu », mais mon cœur fond d’amour quand par franchise et amour, vous me dites un vrai « je t’aime ».
Je vous aime aussi mes 2 tornades. Pas toujours à la perfection, pas toujours avec le plus beau sourire, mais toujours autant sinon plus. Et jamais, je ne regretterai vos imperfections, mes défis, « ni un seul instant, ni une seule minute, ni même du tout ».
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Merci pour votre dualité, et la mienne.
Rédaction :
Franchemaman
Mise à jour : 5 avril 2018
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