À table avec un enfant difficile : nos 10 trucs!

Un enfant difficile, c’est quelque chose! Ça rend l’heure du repas en famille parfois chaotique, parfois complètement monstrueuse. Première Ressource et Vie de Parents s’allient pour vous sortir de la tempête!

1. On met un chrono

On limite le temps du repas à 15-20 minutes pour les plus petits. Avant 4 ans, un enfant aura du mal à rester en place une très longue période de toute façon. On élimine les écrans, on met de la musique douce et on reste zen.

2. On offre une collation nutritive

Au retour de l’école ou de la garderie, on dispose un plateau de légumes ou des muffins sucrés à la purée de dattes sur la table pour la collation. Si jamais le souper se passe moins bien, notre enfant aura au moins un peu de vitamines dans le corps!

3. On laisse passer les périodes de transition

Des enfants qui refusent de manger ou mangent moins pendant une période de changement (voyage, déménagement, adaptation à la garderie…) c’est normal. On leur donne congé, pour un temps, avant de commencer à s’inquiéter si le phénomène perdure.

4. On fait goûter

On peut leur offrir d’abord de petites portions pour goûter plutôt que d’imposer un gros souper tout de suite. Ça permet d’apprivoiser le changement!

5. On décore avec des aliments sains

On met sur le frigo des images d’aliments colorés comme des légumes, des fruits, etc. Ça permettra aux enfants de les apprivoiser visuellement avant qu’ils ne soient dans l’assiette.

6. On joue au restaurant

On peut introduire du jeu dans l’heure du souper de temps en temps. On fait un menu, on les laisse choisir entre deux options, etc.

7. On les laisse choisir leur portion

On met tout au centre de la table et les enfants se servent. Votre rôle de parent, c’est de décider de la qualité des aliments offerts, pas de la quantité.

8. On reste ferme

On ne commence pas à préparer un menu différent pour chaque personne. Restez ferme sur le menu que vous proposez et dites que vous ramasserez les assiettes dans 5 minutes. Pas de souper aux rôties au beurre d’arachide (à moins que ce soit le menu que vous ayez décidé!).

9. On ne menace pas!

Priver de dessert, ça donne une importance injustifiée au dessert, et ça installe une forme de négociation. Or, on ne négocie pas avec un enfant, on risque de perdre.

10. On réfléchit à notre propre attitude

On est difficile nous aussi? On montre l’exemple et on se met au défi de goûter à de nouveaux aliments. On se souvient que nos enfants sont de grands « copieurs »… on ne peut pas s’attendre à ce qu’ils goûtent à tout si on fait la fine bouche.

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Rédaction : Première Ressource
Mise à jour : 21 mai 2019

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