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Sports à faire
On vous l’a dit, on vous l’a répété : l’activité physique, c’est important. Et même si vous n’êtes pas du genre joueur de la LNH, vous pouvez intégrer l’activité physique dans votre vie et dans celle de vos enfants. Profitez de la période préscolaire pour tester différents sports en compagnie de votre enfant afin de sonder son intérêt, question de vous éviter de multiples inscriptions à des cours qui l’ennuieront plus tard. Est-ce que votre petit préfère les sports d’équipe ou individuels? A-t-il un esprit compétitif? Aime-t-il courir sans s’arrêter ou tenter de comprendre une stratégie? C’est en essayant différentes activités avec lui que vous pourrez voir sa personnalité. En fait, c’est pareil pour les enfants et les adultes : il s’agit surtout de trouver SON sport. On n’est pas obligés de tout aimer! Un enfant pourra très bien apprécier le yoga et détester le soccer que d’adorer les arts martiaux en mettant de côté la danse. Tout est possible.
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À vous, parents qui êtes plutôt de type sportif à la base, un conseil : gérez vos attentes. On parle ici autant d’attentes envers l’enfant (du type « elle deviendra une star du patinage de vitesse ») que d’attentes envers le moment que vous passerez à bouger en sa compagnie. Initier son enfant au tennis à un très jeune âge parce que ça nous passionne, c’est merveilleux! S’attendre à échanger des balles avec Nadal alors que notre enfant a six ans… ce l’est moins. Ne voyez pas ces plages comme des moments pour vous entraîner VOUS, mais plutôt comme une activité à partager avec votre enfant, dont vous tirerez des bénéfices à long terme.
Lorsque votre enfant entrera à l’école, et même un peu avant, il trouvera tout plein de cours à sa disposition. L’offre est extrêmement variée pour bouger à cet âge : prenez le temps de l’explorer en compagnie de votre enfant, question de voir comment vous pouvez y trouver votre compte autant que lui (un cours à 1h de voiture le mardi soir 20h30 pour un enfant de sept ans? Répétez ça deux trois fois si vous ne voyez pas le problème). Plusieurs de ces options sont aussi offertes à l’école ou dans les centres communautaires, surtout une fois rendus à l’adolescence, où le parascolaire commence plus sérieusement. À vous de voir aussi, selon le tempérament de votre progéniture, comment vous gérer le degré de « sérieux » et de compétition de son activité sportive.
En somme, les options sont nombreuses, mais tant qu’on reste à l’écoute de son enfant et qu’on ajuste nos attentes envers l’activité sportive en question, le sport peut être une grande source de plaisir (et d’épuisement positif!) pour nous et nos enfants!
Rédaction :
Équipe Vie de Parents
Mise à jour : 19 juillet 2017
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